Nouveau Théâtre d’Angers-Centre dramatique national Pays de la LoireAUTOUR DES DRAMATURGIES ANGLAISES
Avec le département d’études anglophones et la direction de la culture et des initiatives de l’Université d’Angers
La saison 2014/2015 du CDN propose plusieurs spectacles créés à partir de dramaturgies anglaises majeures traduites :
- Trahisons de Harold Pinter - mise en scène Frédéric Bélier-Garcia, production La Comédie-Française ; jeudi 30 et vendredi 31 octobre/T900
- Roses d’après La tragédie de Richard III de William Shakespeare - mise en scène Nathalie Béasse, coproduction NTA ; du mercredi 26 au vendredi 28 novembre / T900
- Dans la République du bonheur de Martin Crimp - Mise en scène Elise Vigier et Marcial Di Fonzo Bo - Les Lucioles - du mercredi 3 au vendredi 5 décembre /T900
- Falstafe de Valère Novarina d’après Henry IV de William Shakespeare, Compagnie de la Jeunesse aimable - mise en scène Lazare Herson- Macarel ; du 15 au 19 décembre /T400
Paroles universitaires et artistiques autour des dramaturgies de Shakespeare, Pinter et Crimp. avec Frédéric Bélier-Garcia, Nathalie Béasse, Erik Gerken, Emmanuel Vernadakis, Graham Woodroffe…
mercredi 5 novembre à 18h30 - Espace culturel de l’Université d’Angers site Saint-Serge entrée libre sur réservations à rp@nta-angers.fr
AUTOUR DE LÉO FERRÉ, CONFÉRENCE CHANTÉE
MA PUTE, MON ENFANT, MA SŒUR
Avec le service culturel et les filières Arts et Lettres de la faculté des Humanités de l’UCO
Conférence proposée à l’occasion du spectacle Michel Hermon chante Léo Ferré : Bobino 69 le jeudi 2 avril à 20h30 au Grand Théâtre.
"Au cours de ses 50 ans de carrière, Léo Ferré, poète, musicien, chanteur, aura publié plus de 40 albums. Cette œuvre est particulièrement riche et variée : du piano-voix à l’orchestre symphonique, de la mer à l’amour en passant par la mort, ses formes et ses thèmes révèlent une richesse encore méconnue. C’est une partie de cette oeuvre qui est revisitée dans cette conférence chantée autour du regard du poète sur la femme : Léo Ferré avait de la féminité une vision paradoxale, tantôt sacrée, tantôt profane, synthétisée dans un de ses vers : « Ma pute mon enfant ma sœur ». Trois conceptions ; trois entités ; trois fantasmes."
Par Stéphane Oron, professeur de lettres, auteur du site Pays-âges de Léo Ferré et Arnaud Lévêque, musicien
mercredi 25 mars à 18h30 – Amphi René Bazin UCO entrée libre sur réservations à rp@nta-angers.fr